Tuesday, May 6, 2008

La République (La Terreur et La Réaction Thermidor) : 1789 à 1804

Les années 1789 à 1795 ont éprouvé des changements dramatiques dans la société qui ont directement influencé le caractère de la sphère de la production des arts dans la nouvelle république. Cette période relativement brève a vu deux transitions de pouvoir d’un système monarchique à un système radical et d’un système radical à un système plutôt modéré. Ces transitions a témoigné la destruction des institutions d’état à travers l’abolition de l’Académie Française en 1793 et la création des nouvelles à travers l’établissement du Salon libre en 1791 et du Concours de l’An II en 1794. Le marché pour l’art français a changé pendant que la domination des collections privées de la noblesse ont ete remplacé par une entreprise dirigée par l’état totalitaire. Bien que le régime sous Robespierre a déclaré l’émigration obligatoire des sympathisants de la monarchie française et la confiscation de leurs biens par l’état en janvier 1793, plusieurs artistes de l’Ancien Régime sont restés en France et ont participé dans la nouvelle sphère artistique. Pendant cette période, l’art est devenu un moyen essential pour la justification politique à travers la propagande.

Le 5 floréal an II (24 avril 1794), le Comité de salut publique, institution représentant le régime totalitaire sous Robespierre a fait une déclaration dont il « appelle les artistes de la République à représenter, à leur choix, sur la toile, les époques les plus glorieuses de la Révolution française. » La première phase du Concours de l’An II représentait le pouvoir du nouvel état comme patron central des arts de s’imposer une tâche aux artistes français dont l’art devient un moyen de communiquer un message propagandiste. Pendant la marche du concours, les artistes trouvaient dans des environs fermés à la dissidence politique contre les principes de la Révolution. La rhétorique de l’établissement a nommé spécifiquement les « aristocrates académiques » comme des « ennemis secrets de la révolution et de la liberté ». Ainsi malgré le « choix » libre constaté par le Comité, le Concours a interdit effectivement le style néo-classiciste de l’Ancien Régime en représentant les idéals d’une nouvelle société. Le Concours a légitimé les représentations directes des événements récents de cette période à cause de la croyance que la société française ait éprouvé des changements historiques et à cause du besoin de justifier la violence de 1789 et du Peur.

La compétition restait au centre de cette tâche. Plusieurs jeunes artistes sentimentaux à un nouvel esprit radical de la Révolution participaient dans un spectacle public pour la première fois, mais on doit comprendre aussi que plusieurs individus actifs dans la sphère artistique de l’Ancien Régime participaient dans la même compétition. Cent quarante œuvres ont soumis au Concours pour le jugement d’un jury ; un tiers étaient des allégories identifiant les événements de la Révolution (style favorisé des artistes plus traditionnels) pendant que le reste étaient des représentations actuelles. Chaque œuvre est marqué anonyme à la direction de la Comité, soulignant l’idéal d’un processus démocratique dont tous les participants étaient égaux en perspective de l’état et dont chaque artiste était obligé à reconstruire sa propre réputation dans la nouvelle république.

Les tableaux historiques ont offert la chance des artistes à formuler des nouveaux symboles pour glorifier les principes de la Révolution d’une façon similaire duquel les artistes ont utilisé les symboles pour glorifier la monarchie et l’Église dans le passé. La Liberté est représentée régulièrement comme femme indépendante et forte, portant des vêtements de guerre, symbolisant la volonté à combattre les ennemis de la République. Les valeurs de la République sont présentées souvent dans des formes humaines, comme dans La Sagesse amenant la Vérité sur le Globe de Pierre-Paul Prud’hon. Les artistes des peintures décrivant des moments actuels de la Révolution ont tenté de représenter les actes héroïques et vertueux des personnages, réales ou imaginées, de la Révolution. Ainsi ces représentations sont devenues mélange des réalités politiques actuelles et des mythes populaires. Il est essentiel qu’on note aussi la présence des masses dans de nombreux de ces œuvres pour communiquer l’appui des peuples français pour les principes républicains.

Robespierre est exécuté le 28 juillet 1794 par le nouveau régime anti-Jacobin au commencement de la Réaction Thermidor, et ça a marqué un changement direct dans la perspective des membres du jury du Concours. À ce moment-là, malgré les assurances de l’objectivité, ces officiels sont obligés à reconnaître les œuvres qui ont justifié ce nouveau régime plus modéré. Il y avait une tendance de la part du régime à penser qu’il existait une « dette immense » à la société française pendant une période des atroces duquel l’état est responsable à fixer. Ainsi les gagneurs principaux du Concours étaient des individus les plus menacés les plus pendant la période du Peur qui étaient aussi les individus les plus sympathiques aux tendances de l’Ancien Régime. Or la légitimation des représentations des événements présents pour servir les besoins d’un message propagandiste était un des legs durant de cette période.

En addition à une préférence pour les tableaux historiques qui ont glorifié le passé, les années 1790s étaient une période qui a célébré un nouvel intérêt dans un style des artistes hollandais du dix-septième siècle appelé le « goût hollandais. » Jean-Baptiste-Pierre Lebrun, homme de l’artiste célébré Elizabeth Vigée-Lebrun, et vendeur de l’art nordique du style « néo-hollandais » lui-même, a publié Galerie des peintres flamands, hollandais, et allemands en 1792. Ce style mettait en valeur les éléments de la vie quotidienne dans les maisons bourgeoises de cette période, plutôt que glorifier les moments les plus poignants de la Révolution. Ces artistes sont déterminés à présenter la clarté des détails et du contraste parmi des sujets au-dessous des concepts abstraits préférés pas les artistes de l’Ancien Régime. À cause de cela, la peinture de l’artiste hollandais (appelé le fijnschilder) est élevée à un nouveau haut niveaux dans les collections privées des bourgeois à la fin du siècle. Lebrun est devenu responsable comme communicateur essentiel pour le développement des goûts populaires artistiques dans les cercles bourgeois de son temps.

Entre les années 1789 à 1791, Lebrun a soutenu une Exposition de la Jeunesse qui a laissé les artistes qui étaient refusés par le Salon à présenter leurs œuvres à la grande publique. Cet événement a montré l’intérêt grandissant dans le style néo-hollandais et a célébré un nouveau sentiment démocratique de ce style qui est comparé aux influences aristocratiques de l’art dans les Salons. Les hauts prix gagné par l’art des artistes comme Louis-Léopold Boilly, Martin Drolling, et Marguerite Gérard de cette période correspondaient à une nouvelle demande parmi les propriétaires des collections pendant la Révolution. Quelques artistes ont célébré le caractère des classes bases et des classes moyennes, comme Peinture et Musique : Portrait du Fils de l’Artiste de Drolling. Les autres ont utilisé leur œuvre pour communiquer d’une part les sentiments moralistes de la « haute bourgeoisie », comme dans la peinture Mauvaises Nouvelles de Gérard. Ainsi cette sentimentalité « démocratique » ne sont pas nécessairement partagées parmi tous les artistes de ce mouvement. En addition, les artistes qui n’ont pas préféré à des peintures de genre sont influencés par plusieurs éléments du style néo-hollandais, comme le Portrait de M. et Mme. Lavoisier de David.

Pendant six ans transition politique violente, les contradictions dans la réalité de la liberté de l’artiste dans ses environs s’est levées. Dans le passé, la monarchie a dicté le sujet de l’art pendant que l’Académie a dicté le style. La transition de pouvoir à un système radical a établi ses propres limites sur l’imagination artistique dans son enquête de justification. Plusieurs artistes qui sont bénéficiés d’un système de patronage sous l’Ancien Régime se sont souvenus d’un passé de privilège avec la nostalgie. L’art du Concours de l’An II est devenue façon de communiquer sur les mérites pendant qu’un nouveau style néo-hollandais cherche à représenter et à justifier la vie quotidienne de la classe moyenne. L’art dans ce contexte a servi un but politique, et dans cette période, c’est l’état qui est devenu le plus engagé dans le processus de définir ce but.

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